UN POEME

Lorsque tu es parti ,

Ton père et moi t'avons accompagné

Jusqu'à la porte d'entrée , porte

Que tu n'as jamais voulu re-franchir

Cette porte d'entrée qui est devenue pour ,toi une porte de sortie

Et qui le restera selon ton désir

Un grand nombre d'années s'est écoulé

Un nombre irréversible

Tu es parti avec ton sac à dos vert espérance

Comments

[Maïté]

OH ! C'est vrai ?
Et pourtant je me souviens de l'avoir lu !
Je me souviens même de ce qui était écrit , tu parlais d'une " porte ouverte" !
Le principal , c'est que je m'en souvienne !
xxx
Maïté
P.S.
C'est la deuxième fois que cela m'arrive cette sem
aine!
xxx
M.C.

[gegouska]

Je connais cela aussi,on élève des enfants et un jour ils s'envolent pour ne pas revenir c'est la vie....! Il faut que jeunesse se passe...! ils ont leur vie et nous la notre une autre vie commence il faut bien l'accepter. Gros bisous

[bru]

J'avais écrit un commentaire, mais il est parti

[Maïté]

Merci de ton passage , ton ordinateur a cessé de te faire des misères !
J'ai écrit ce texte du plus profond de mon coeur et Dieu sait s'il est profond !
Amitiés
Maïté

[Maïté]

Ma mémoire le désire-t-elle vraiment ?
Il faudrait " effacer " tellement , tellement de souffrances !!!
Les souffrances du coeur ne sont-elles pas les plus aigues et les plus incurables ! Les blessures d'amour sont les plus difficiles à cicatriser et le sont-elles vraiment ?
Mes doutes sont réels dans ce domaine !
On ne peut pas guérir " d'un chagrin d'amour " quelqu'il soit ! On ne peut que toujours le ressentir , et même le revivre s'il était VRAI .