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Les années soixante
17 février 2012

POUR MA PAÏSE : LE MARTINET

220px-Martinet[1]

                                            Ne LE reconnaîtront que celles de ma génération qui ont eu le " malheur " 

                                            de LE rencontrer !

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Commentaires
S
Merci Benedicte de ta rapide réponse et de maintenir vivante notre relation. Bien sur j'aimerais pouvoir partager nos passions. Par messagerie perso surement mais je ne sais pas comment communiquer mon adresse via ce blog. as tu la solution sinon on passera par un autre blog ou tu es présente et moi aussi qui donne la possibilité de mp. J espère qu on aura des commentaires de Anne. très amicalement Sophie
B
bonjour chère Sophie,merci pour ta réponse rapide;<br /> <br /> j'ai égaré ton mail et donc je n'ai pu te donner de mes nouvelles, si tu veux tu peux<br /> <br /> oui j'ai gouté au martinet trés tardivement et j'aime encore parfois y regouter;<br /> <br /> Anne doit être un peu pareil ?<br /> <br /> c'est dommage que tu ne puisses pas trouver des complices fouetteurs;<br /> <br /> merci de me répondre et de voir ensembles si nous pouvons évoquer nos souvenirs et envies!<br /> <br /> très amicalement à toi de Bénédicte
S
Bonjour Benedicte tout un plaisir de te retrouver pour parler de nos passions et moi même grande frustration mais cela tu sais. Je me répète mais ça me hante un peu.;je n ai pas trouve non plus de copines fesseuses du moins peu. et encore moins de mari ouvert. Abonnée au martinet jusque tard tu ne sembles pas le regretter et je te comprends et tu me rassure car certains m ont répondu tu aurais déchanté très vite peut être mais comme toi quand on y a goutté au bout d'un certain temps cela se vit autrement. Anne ne dit pas si elle elle a comme nous l a nostalgie de ce traitement mais j imagine que si elle est sur ce blog ce n'est pas pas hasard Au plaisir de nous lire Amicalement
B
bonjour Anne et Sophiekm,je suis contente de vous retrouver sur ce blog;<br /> <br /> donc, comme moi, toujours nostalgique de ce bon martinet, et j'aime lire vos souvenirs qui me renvoient à ma jeunesse stricte;<br /> <br /> tu as eu de la chance Anne que ta mère ait cessé l'emploi du martinet vers tes douze ans, pour moi mère me fouetta jusqu'à mes seize ans de façon habituelle et fréquente; et me disait"tu sais je te fouetterai tant que tu vivras à la maison"<br /> <br /> et elle a tenu parole, bien sûr aprés seize ans c'était dans ma chambre, mais toujours sur mes cuisses donc entre le martinet toujours pendu et mes cuisses rougies tout le monde savait que Bénédicte était toujours soumise au martinet!<br /> <br /> cela, par contre m'a permis de rencontrer des copines qui aimaient fouetter et qui sont devenues des "tutrices" trés sévères mais si douces après!!<br /> <br /> a bientôt de vos nouvelles et très amicalement de Bénédicte
A
Bonjour Sophie ! oui , à la maison , il sanctionnait tous les manquements à la discipline familiale . C'était surtout des fautes finalement assez légères , mais non tolérées par Maman comme trainer avant d' obéir , répondre à un ordre , ( ce que ma mère appelait être insolente ) , plus les petites bêtises qui feraient sourire les parents aujourd'hui et ne vaudrait qu'une simple remontrance . Mais avec ma mère, ça entrainait une punition . Elle me grondait puis décrochait le martinet . Il s' en suivait quelques coups très secs sur le derrière des cuisses . Pour les grosses bêtises , les mensonges ou désobéissance plus grave , j'avais beau m' excuser et promettre de ne pas recommencer , la fessée déculottée tombait . Une dizaine de coups ! A mes copines ou à leur mère , elle disait avec assurance ; avec moi , ça marche au martinet ! . Elle ne tolérait pas grand'chose en fait . Il n'y a que pour le travail scolaire que je n'avais pas de fessée .J'étais très bonne élève et si jamais j'avais une mauvaise note , elle me demandait juste ce que je n'avais pas compris et on refaisait l' exercice . En revanche , en cas d' indiscipline ou de bavardage en classe signalé sur le cahier de correspondance , le martinet était décroché ! Elle ne manquait pas de dire ensuite à la maitresse que j'avais eu une bonne fessée avec le martinet : la honte garantie ! voilà comment ça se passait chez moi dans les années 70<br /> <br /> Anne
Les années soixante
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